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 [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau

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AllSu_Sleeplys
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AllSu_Sleeplys

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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeDim 27 Juin - 20:53

Ouais, et ici les pages sont chaaaargés! XD
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Pushy

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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeDim 27 Juin - 22:32

tu mets une minute pour descendre 1pages x) (c'est une hyperbole) A quand la suite de ton histoire?
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AllSu_Sleeplys

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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeLun 28 Juin - 13:38

Ici c'est maintenant. :ange:
Sur JVC ce sera surement pendant les grandes vacances:
Allez en avant pour un nouveau chapitre! :3

La Peine du Dernier Bourreau
Chapitre 8 la Morgue de Port Town, matinée ( 21 décembre 2009)
Première partie:

D'époques à époques, l'évolution ou l'amélioration des systèmes dont la société est délibérément soumise accroîssent, allant des soins sociaux jusqu'à la technologie qui, lors de l'arrivée des temps contemporains, orientent leur perfection vers les divers domaines qu'offrent l'informatique, passant par la politique, arrivant à mécontenter la population ralliée quelque soit la solution d'un problème quelconque proposée. Face à cette croissance bâtie sur des bases de plusieurs siècles durant, ces gens développent à leur tour, fait courant qu'ils construisaient aussi aux débuts de leur ère, une autre croissance: celle de la râlerie.
Et parmi les différents modèles, est présent un qu'on n'éradique; les reproches nostalgiques, que grognent une plupart d'individus de l'ancienne vie. Ils critiquent, réfutent avec sévèrité l'actuelle, arguments peu destructibles brandis, soulignant les maillons faibles et barrant les rares mais existant points forts, décortiquent la pratique et l'efficacité et vantent les valeurs d'antan, leur cible selon eux quasi fallacieuse. Bien que l'avis est nullement objectif, la difficulté de décider le juste et le tort grandit d'époque à époques.

On retrouve aussi comme genre de râleries, qui persistent à travers les générations, les plaintes du quotidien, à la logique morale et pourtant employées par ceux de position assez désavantagée.
Prenons l' exemple de l'hopital "Allivia" de la première mégalopole de Cornéria, un qui concrètait leur explication avec brio. La réputation d' "Allivia" se fondait sur sa main d'oeuvre médecale aux excellentes variétés, qualifiée à un point tel que chaque échec, là bas, pouvait se permettre de figurer en première page, gros plan, des journaux cornériens mondiaux. Le reste de ses fondations dévoilait en toute modestie l'architecture retravaillée à maintes reprises du bâtiment dont l'espace était très élargi. De ceci, l'hopital public s'était décerné le titre de celui le plus fiable, le plus ouvert et le plus économique –cela dit l'écologie y était désastreuse– qu'il soit de la planète. Mais, dit plus tôt, c'était un des exemples le plus adaptés au sujet énoncé, car la popularité qu'il s'était attitré possèdait son double tranchant.

"Allivia" plus qu'un hôpital était une très grande, pour ne pas dire gargantuesque, fourmillière; y fourmilliaient individus, créatures et choses auxquelles leur présence étant dûes à divers motifs, les origines ci-dedans fournissaient des lots de découvertes fréquentes. Ainsi rapprochons nous du thème de départ; les geignements de haute voix ou de basse pensées rencontraient différents degrés. L'architecture était ingénieuse, certes c'était vrai, mais cela ne l'était qu'à partir du moment que l'hopital en était un, Allivia n'en était pas simplement un. D'ordinaire le silence valait l'or massif dans ce milieu, d'extra-ordinaire Allivia ne connaissait le repos et le calme; bavardages, blabla, patati et patata faisaient des échos sans fin, où se mêlaient les sirènes d'urgence criardes et ignorée malgré tout. Mis à part l'audition, la disposition d' "Allivia" perdait tout de même sa valeur, les bouchons au sens propre étaient les fautifs, tant ses clients étaient entassés que ses nombreux couloirs devenaient embouteillées, les klaxons étant les potins, les ambulances étant les civières, le tout engendrant un déséquilibre d'entrants et de sortants, rage et colère étaient employées au lieu de patience et longueur de temps. La métaphore était sans exagération.

S''il devait y avoir une vedette qui balaye ses pénibles concurents, ce serait ses halls – le pluriel ne saurait déconserver cette première place– grandioses, la grandeur innefficace. Pour les infirmières d'accueil il n'était strictement question d'une pause-déjeuner, même courte. Les employées ciblées par les grincheux ne pouvait donner que cette unique réponse: « Que voulez vous mesdames, messieurs, il ne peut y avoir de chaises pour tous. »
Pourtant ce qui importait était plutôt et surtout les files, la longueur et la largeur surprenante, elles rappelaient que la vie imposait à frayer des passages, de force. Sa différence avec les queues de centres commerciaux se limitait à l'apparence des passants que souvent blessures mutilaient, amochaient ou embellissaient selon leur impact. Les rappels de priorités n'arrangeaient ces concernés, au contraire elles laissaient germer des idées de mensonges dans la cervelle des autres, de facile portée.

L'inverse était tout aussi présent, c'est à dire les gens à qui on ne pourrait reprocher quoique ce soit de se plaindre, de cette poignée mineure, Lucas en faisait partie.
Sa petite taille ne suffisait pour qu'un simple jet d'oeil à ses alentours lui fasse lire en lui un émerveillement. Cette civilisation avait beau à l'épater, cependant il n'éprouvait envers elle passion, ou admiration, la nullité de cette organisation l'étonnait largement plus.
Voilà un petit tiers d'heure qu'il tentait de progresser dans la queue, faufilé entre les jupons de la foule, et puisque ce n'était bien fructueux, il se contraignait à pousser, écraser chacun, suivi de polies excuses, dont le répertoire approchait la saturation. Ou il rebondissait contre enveloppés, entrait en collision avec maigres droits comme des perches, s'éloignait des créatures de peau douloureuse, visqueuses, ou brûlantes, demandait le pardon platement à la gente féminine méconnaissable ou aux mutilés. A chaque instant, un obstacle venait, le retardant, ou manquant de le ratatiner, ce que faillissaient les civières d'urgence qui surgissaient de toute ou nulle part, les draps blancs se plaisant à s'accrocher à un peu n'importe quoi, tels que cornes ou griffes.

Enfin le blondinet à la coiffure d'une crème des intelectuels eut atteint le poste d'infirmière auquel se tenait derrière une espèce d'objet de même fonction qu'une solide vitre de sécurité une dodue hippopotame donnant l'impression d'un caractère affectueux avec sa blouse blanche et mauve. Après avoir pris le temps de lire ce qui était écrit sur la sorte d'étiquette essor de l'électronique, fixé sur le vêtement écorcheur de yeux, il s'adressa, restant galant, à la colosse:

-Pardon du dérangement, madame ... Rhinofestavi?
-Oh trésor, prit alors la parole l'infirmière d'une voix terriblement fausse, c'est "Rhinopharingite" d'abord, et nous nous identifions non pas à notre nom mais au nom du domaine duquel nous sommes chargées d'en fournir les renseignements que l'on nous demande. Dis moi donc sur quoi veux tu avoir des informations, je t'indiquerai le poste adapté.

Après que Lucas eut formulé sa demande, la bête aimante, lui pria d'aller à quinze poste à gauche, ce fut reparti pour un périple désagréable.
Avançons de trois quart d'heure, le garconnet intéragissant avec l'infirmière correspondante, un koala ayant des cernes à l'allure sévère. Avant cela, il prit la précaution de vérifier la section sur l'étiquette que portait sa tenue rose grisâtre... C'était catégoriquement illisible, au final la consternée l'interpella, ne mâchant de préférence ses mots:

-Dites moi, le jeune. Si vous ne vous faites pas remarquer, petit comme vous êtes, je vois très mal comment activer la traduction en votre langue de mon étiquette, c'est du pur Katinien que vous lisez là. Et je signale que nous avons placé des bornes d'informations près de chaque file d'attente dans le but de nous épargner cette corvée.
-Oh j'en suis confus, fit le garçon.

Le koala trifouilla sa machine, au grand dam de Lucas il était écrit "Fracture au mollet". Sûrement parce qu'il eut confondu de gauche. Il partit parcourir les trente postes – encore heureux qu'il sache compter – la mine énervée. L'odysée qu'il ne supportait reprit son cours.
Enfin une ou deux heure durent s'écouler, avant qu'il puisse, suite à des précautions, se renseigner auprès de l'infirmière chargée des cas de crises cardiaques. L' autruche au plumeau noir d'un épi comparable à un buisson, sa blouse foncièrement violette dotée d'un long col, fut interrogée.

-Ness? Il serait plus clair que vous me disiez au minimum son nom de famille.
-Euh... je ne sais pas, répondit ce dernier. Vous ne voyez pas qui? C'est un garçon à la casquette...
-Il y a beaucoup de casquettes, le savez vous, dit elle d'une certaine pointe d'ironie, certainement pour se venger de l'appelation "l'oiseau au long cou" qu'elle avait recu.
-Mais si, même qu'un homme est venu, il le portait dans ses bras... Tenez c'est celui qui... ( il se retourna, et comprit vite que la vue était très mauvaise sur le hall) euh, bref c'est un vieux monsieur qui porte un costume de super-héros, super bizarre, vous voyez le style...

L'autruche allongea alors son cou, sortant de sa poche de droite des jumelles... du moins ce qui ressemblait à des jumelles. Longeant du regard la salle, elle se demandait si elle trouverait ce certain super-héros grâce à de pauvres indications. En effet, il s'apparut qu'un homme se démarquait des autres.
Captain Falcon demeurait assis sur l'un des bancs d'attentes qui supportaient la masse des attendants, l'étroitesse que lui conférait un cosmonaute de petite taille et un inconnu ne semblait lui causer de soucis. La visière de son casque ne savait cacher son regard vague, trahissant un ennui relatif. Allivia n'était qu'une vulgaire routine selon lui, habitué à ce phénomène de société. Le dos penché en avant, les mains jointes, il entre-choquait ses pouces, voulant combler ce moment dénué d'action, puis son cou le démangeait. Sa main eut le désir de le gratter, désir qui disparut dès que ses doigts effleurèrent le doux tissu de son écharpe pendue.

Le destin, cruel pouvait il être, lui accordait un repos de profit essentiel. Et ce repos ne lui était dispensable, il en avait besoin. Il avait besoin de se remémorer sa vie dérisoire. Dérisoire... Pourquoi dérisoire, pensa t il, parce que, répondit il à soi même. Les souvenirs qu'ils entretenaient au sein des confins de son subconscient, il fallait qu'ils ressurgissent, l'enjeu était important, trop. Il ne parlait des plus vieux, lointains d'une quinzaine d'année au moins, ceux qu'il souhaitait convier étaient récents, sur un plan temporel. Pourtant, étrange contradiction, ils paraissaient venir d'un autre monde inconnu, il fut par des fois capable de douter de l'existence de cette ancienne vie, pourtant ils n'étaient séparés seulement de deux mois. Des mois éphémères pour l'humanité, si longs pour l'homme. Homme, s'enquit il, justement un homme de cette responsabilité avait il le mérite de porter un tel titre. Le cycle nostalgique, le tourment des images du passé décida de l'emporter.
Mais jusqu'où avait il remonté?



De cette journée, précèdait de très près la remise des prix et lui, il gagnait le premier. Sa carrière comptait alors son, disons, plus du deux milles, trois millièmes grand prix, une habitude en somme. Les courses F-Zero n'avaient leur pareil pour décerner ce idole de prix, un trophée moins luxuriant que l'habituel, matérialisé d'un nickel gris brillant où se réflètaient les brusque flashs d'appareils de photographie, assez lourd. Et lui, il le brandissait haut, digne et satisfait, les objectifs des appareils braqués, n'épargnant aucun angle. Les cris, les sifflements, les hurlements qui lui étaient adressés, et le tout, il le devait juste à lui et à son talent en tant que respectable pilote réputé de courses F-Zero. Durant cette vie professionnelle, il était très rare que les frais de participations lesquel il avait payé n'étaient remboursés, comblé par le modique argent reçu en prime accompagnant le premier prix, autant dire que ses échecs ne se soldaient presque jamais.
L'aventure, l'émotion, que du bonheur, que de la joie, que des sensations, lui procurait sa vie, ou ses vies parralèlles; d'un coté une figure célèbrissisme qui avait obtenu par ses exploits et sa vaillance un statut de héros, et l'autre coté, le plus insoupçonné, Karls Magma admirable vice-président d'une société de véhicules règnant depuis des siècles, où bonnes affaires étaient au rendez-vous.
Les médias ne le souciaient, il pratiquait un système efficace et qui jamais n'avait été démenti, car ses appartements à Port Town lors de ses deux vies étaient d'immeubles voisins, et la disposition avait été organisée ainsi pour s'éloigner de ces reporters, et journalistes, dans le tas, pas un ne fut assez futé pour soupçonner cette double-identité.
Ca, il le devait qu'à lui seul, ces carrières il les avait forgées seul. Seul.

Cette journée, le simple homme d'affaire qu'il était, sortait d'une boutique de luxe, Paty's, immeuble d'une trentaine étage, localisé dans la zone ubaine de Port Town, ville ancienne qui se fit une renommée en tant que ville natale du pilote où les immeubles résidentiels dépassaient rarement les quarante étages.

La sortie s'ouvrait et se refermait, de spacieuses cassettes étaient portées, à la main, dessus des épaules, par les avants bras, ou un simple chariot lévitant grâce à la pression de l'air les transportait, Karls Magma ne s'attelait pas en solitaire la corvée, un individu le cotoyant lui prêtait main forte, l'âge mûr ou presque, bien que sa musculature le transparaissait dans le début de la vingtaine .
A en juger ses goûts, l'homme fournissait d'aspect un dur caractère, et une matière grise sûre. Bien que vêtut d'une veste sans manches trois quart nocturne, il portait dessous un pull over orange terne où ressortaient ses manches courtes bordées de lignes rouges. Le jean de vieille mode déserré qu'il avait équilibrait l'attention de ce détail à l'aide d'une couleur de clair de lune, enlevant la dépression des murs gris proches. Les bruits de moteurs de la rue emplie de véhicules volants ne pertubaient ses mouvements, interprétant l'habitude aux klaxons dynamiques venant sans crier gare. Sur l'espace, que nous autres appelerions « trottoirs », se déposaient empreinte puis empreinte ses chaussures marrons spécialisées pour les cyclomoteurs de l'époques, aux semelles noires. Ses mains occupées à soutenir les produits achetés obtenaient une chaleur supplémentaires de ses gants pourpres de cuir, les poignets compris.
Le vent qu'exercaient l'avenue fouettaient la limpide écharpe jaune enroulée autour du cou du bel éphèbe. Constamment, il faisait un geste brusque de la tête pour dégager ses quelques cheveux rebelles noir chocolat, d'épaisseur de feuilles d'orchidées et plus drus qu'à la normale, qu'ils arrivaient jusqu'à la moëlle épinière. Ses lunettes de protections d'un verre foncé qualité certifiée ne savaient les empêcher de masquer ce visage confiant mais ténébreux. Le ciel orange fumé, les grattes ciels impressionnants et originalement constitués, peaufinaient avec reflets ses pupilles aussi coloriées que le bois des vastes forêts orientales. Les traits qu'il avait inspiraient des préférences peu banales et obscures, tandis que sa peau jaune ou rose exprimait une faible flagrance de sentiments.

Karls Magma, lui, était le même, sauf qu'il troquait la tenue de son autre identité par un court manteau bleu cyan de plusieurs épaisseurs, l'ouverture laissait voir une chemise blanche décoré d'une cravate à rayures noires et un pantalon noir d'allure galante. Son vrai visage avait des traits qui appauvrissaient le signe de vieillesse de ses rides. Ses yeux possèdaient quand à eux des pupilles de la couleur de la terre, qui apportaient aussi leur touche de rajeunissement. Ses cheveux de couleur communes était par contre plus long qu'on pouvait l'imaginer.
L'homme en fin d'adolescence lui lancea une remarque d'une voix posée:

-Ce n'est pas sérieux de ta part.
-C'est à dire? , lui demandea Falcon, ou Karls, la mine pareille.
-Sèche cheveux rouge, multi-fonction, fournissant une puissance idéale, il y a déjà un du même modèle chez toi, moins lourd, il suffit juste de régler la pression comme il faut. Fento-onde, pouvant changer de température à volonté, alors que l'ancien occupait moins de place, et était plus pratique. Ecran plasma-vélocité, quasiment identique à l'actuel. La liste de bêtise est loin d'être terminée, vois tu.
-Mmm la couleur du sèche-cheveux est immonde tout d'abord.
-Aussi immonde que celle de celui que tu as acheté, contredit l'autre avec un sarcasme neutre et léger.
-Le pico-onde est trop petit, il n'y a pas assez de place pour cuire davantage d'aliments.
-D'où la présence d'un four trois fois plus énorme que le précédent.
-Il y a trois pixels morts au beau milieu de l'écran, continua ledit dépensier.
-La compagnie anti-pixel mort t'aurait arrangé ça en moins de deux.
-Quoiqu'il en soit, cet argent n'était fait pour rester enfermé dans des coffre forts de banque, compté par des employés automatiques, répliqua Falcon.
-Raison suffisante pour jeter l'argent dehors et pas qu'un peu, fit remarquer l'homme presque mature.
-Le profit ne dure pas,riposta il, serein, autant le saisir dès que possible Kyu.
-Soit. Mais cesse donc de m'appeler ainsi, tiré par les cheveux comme c'est, même si ça ne me plait pas trop qu'on m'appelle Haïku, dit ce dernier laissant échapper un soupir invisible.
Et j'ai 17 ans et huit mois, je ne suis plus un petit jeune inexpérimenté, cher père insouciant.



Fin de la première partie
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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeVen 2 Juil - 19:29

100eme Post au passage. :3 Edit : De la catégorie "Fiction" pas du topic ( je m'était gouré. :3)
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Pushy

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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeSam 3 Juil - 3:20

Hein? [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 613605
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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeSam 3 Juil - 14:40

Nan, je veux dire, que si tu regarde le nombre de message dans la partie "Fiction" de "Crétion graphique" il y a plus de 100 messages. 🆗

Sinon t'as lu ma suite pavé ? [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 826599
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Pushy

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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeSam 3 Juil - 15:03

ah ouais pas vue

*lis le pavé*
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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeLun 5 Juil - 20:26

Deux jours plus tard. [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 613605
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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeLun 5 Juil - 20:36

Deux jours plus tard. [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 613605
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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeLun 5 Juil - 21:55

pourquoi posté deux fois pour montré t'as new sign? [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 613605
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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeLun 5 Juil - 23:02

Mais...Mais, je pensais avoir supprimé le doublon! :/
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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeLun 5 Juil - 23:12

maintenant tu peux plus parceque pushy a posté [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 488844
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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeMar 6 Juil - 1:37

Okay. :3

Sinon... Comment trouvez vous le personnage Haïku? :3
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Pushy

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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeMar 6 Juil - 13:46

hmm.
Post pas de suite (non je dec) je pars en vac jusqu'au mois d'aout si tu lisais le topic absence...
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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeMar 6 Juil - 20:14

Oki. [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 613605
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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeJeu 5 Aoû - 22:42

Fu fu fu... ite! *mode vannes de plouc OFF*
Oui, voici la suite! :ange:

Chapitre 8: La morgue de Port Town, matinée
Deuxième Partie ( Originaire du 19 février 2010)

Ville étriquée et distanciée d'autres, d'une fréquentation vue de mauvais œil, pleine d'attardés et de souillures, impropres, où bouillonne un air de piètre origine industrielle, à la culture arriérée et la civilisation moyenne en recul face à celle à l'échelle mondiale, climat frileux, et etcétéra points négatifs en suspension. Ceci était une parfaite définition pour stéréotyper sans scrupules Port Town d'autrefois.
A cette époque détestable, venant de tout secteurs économiques, des propos de rasage de terrain inquiétaient fort sa population. Foules de tentatives succédées, la contrepartie financière qu'élaboraient généreusement les négociants connaissait alors une hausse continue de zéros à la queue-leu-leu, malgré cela les habitants persistaient à rejeter ces offres, faisant valoir leur droit. Au bout du compte, une attaque prévisible vit le jour. Fonctionnaires issus de cadres de l'économie s'allièrent, eux et leur opinion, dans le but de persécuter la cité s'armant de l'influence sur les gens; ils arrivèrent alors à un point où ils jugèrent l'existence de Port Town indésirable.
La mèche était allumée. Des batailles verbales enragées s'enclenchèrent, des luttes qui ne s'arrêtaient tant que les cordes vocales n'étaient enrayées. Pourtant, sur les deux camps, il était en commun une vérité que Port Town soit nullement excellent en n'importe quelle domaine:
Pas un moindre monument classé lieu historique, littéraire, scientifique, culinaire de quelconque importance s'y tenait ci-bas, quand à son trafic commercial, il serait une perte de temps de rédiger une critique constructive du système, puisque les bénéfices tirés étaient clairement médiocres – légal entendrions nous, sinon c'était une autre histoire – et que dire des services sociaux, si ce n'est que des hôpitaux au personnel incompétent et/ou au matériel médical manquant, ou qu'une seule institution scolaire à sa disposition, comprenant uniquement de la maternelle au collège, éduquant mal, et bien de vilaines pousses, conclusion, des citadins la plupart inculte, désespérée, stressée, malade, invalide, ainsi qu'une courante violence malsaine, mortelle. Étonnant donc d'entendre le mot « indésirable »? Et de voir sa dévastation de plus en plus approuvée?
La phrase clé: la ville courait inévitablement à son extinction.

Les choses ont changé.
Grâce à la grande figure célèbre de F-Zero, Captain Falcon.

Sa réputation promenait dans les confins de la galaxie, parvenait à franchir les limites inter-stellaires, imaginons à quel point cet honneur contribua à son sauvetage, la fierté d'être son berceau, très peu tendre était il.
Inadmissible de détruire la cité, furent contraint à certifier les partisans du chantier, les menaces orales se dépêchèrent de cesser. Ces disparitions de conflits n'étaient pas les seules, la misère de Port Town s'effaça elle aussi, progressivement.
Des donnes touristiques acceptables surgirent au fil des années, offrant maintes opportunités au marché, une évolution fit prendre place des boutiques d'antiquité de souvenirs puis de moyennes catégories et on arriva au luxe. Ce qui permit un bel accroissement économique, permettant l'entretien de budgets favorables aux études, primitives et supérieures, à l'amélioration des soins, c'était une apogée nouvelle. Un âge d'or qui se fondit sur les dizaines d'années passées, totalement parallèle à la situation initiale, la ville excellait alors dans le confort par ses salaires enrichissants ou sa sécurité sociale, tandis qu'en technologie, on comptait une quantité de fastueuses œuvres d'architectes. Grâce à Captain Falcon, le remède miracle, l'espèce de messie de Port Town.


Port Town, là bas il préférait y être pendant ses congés. Enfin, ce n'était une question préférence, plutôt, il vivait là-bas depuis toujours. Il s'amusait, pour ce, à mettre en pratique tours de passe-passe, qui bernaient et semaient les éventuels subalternes des médias à sa poursuite.
Quand la célébrité n'était pas, y avait simplement Karls Magma, un vice président de société. Les mensonges n'étaient point difficiles à superviser, son rang lui fournissait un emploi du temps assez libre, avec des règles strictes mais sans plus. Au bureau, sa présence n'y était formelle, le capital étant juste que le travail demandé soit exécuté, et son supérieur se coltinait la majeure partie des fichiers à remplir et signer. Ses voyages d'affaires n'imposaient pas de destinations trop gênantes, de toute façon, qu'ils coïncident avec les sessions d'entraînement prévues, il s'en moquait. La compétition, elle, ne le souciait, les horaires de courses étaient variées, aussi un substituant pouvait très bien se charger de cette « tâche », histoire de fausser son rythme et les pistes. Ce n'était pas les différents procédés trompeurs originaux qui manquaient.
Oui, chaque problème avait toujours rencontré sa solution, les masques savaient les pourquoi et les comment à cet âge. Ils se propageaient tranquilles, pas d'obstacle infranchissable devant eux, le nombre de possibilités de mouvements frôleraient l'infini. Tant de personnes en portent, elles souhaitent garder ce qui doit être gardé et elles emprisonnent leur confiance, craintives.
Karls Magma, lui, était un de ceux qui sont capable de la confier. Ce lien particulier qui ne tolérait les arrières pensées douteuses, ce lien l'unissait à son fils, Haïku Magma.

Jeune bachelier en études avancées d'électrochimie, lois spatiotemporelles, et autres variétés de thèmes on ne peut plus complexes, il attendait l'ère de sa dix huitième année qui commencerait les mois venaient, les apparences ne sauraient définir s'il était patient ou non. A propos, serait il préférable de préciser que l'étudiant était doué de qualités physiques et psychiques qui en concoctait un aphrodisiaque dangereux, dont mordaient hameçon prétendantes, cœur d'artichaut ou cœur de glace.
Haïku Magma était celui qu'on-qu'il ne comprenait, selon quoi ses paroles aiguisaient un tranchant dur et clair. Avec lui, l'affirmation était la thèse et les arguments, la moralité, Captain Falcon se contentait de ne le contredire que si besoin le fallait. Pourtant, même s'il était des temps où l'adjectif « lugubre » et ses compagnons lexicaux étaient d'un emploi raisonnable, sa contribution à la partie de supercheries s'avérait parfois cruciale, mais ça, sa figure paternelle était d'une fierté telle qu'il ne le reconnaissait. Voyons, il pensait se débrouiller sans ses corrections élémentaires des stratégies anti-paparazzi prévues, ou s'abstenir de l'aide d'Asparrow Hawk, l'identité « poeple » de son fils conçue en toutes pièces, un aimant d'interviews indiscrets, terminons la série d'exemple par le jour d'une de ses défaites, il avait pu rembourser les frais de participations grâce aux espèces retirées en secret sur son compte à l'avance, devinons qui en était le coupable. Son hypocrisie n'était toujours pas fatiguée de ce petit jeu, hélas.
Ce qui préoccupait moins Haïku que la tendance à ne pas respecter les budgets fixés de son père. Les rôles du gardien savant et du protégé dupé s'étaient inversés.


C'était la fin d'après midi. Il vaut mieux que nous sautions l'épisode des déballages grotesques chez soi, installations superflues de ces produits chers, pour ne pas dire hors de prix, sur lesquels un énième remerciement de la boutique Paty's était inscrit. Sautons au passage les remarques flagrantes de vérité de Haïku, et les ignorances flagrantes d'entêté de Karls. Place à une routine dans les rues du centre ville qui se résumait à une, deux bornes, d'abord à pied.
Après quelques traversées sur la route de circulation, emprunts de chemin de piétons, défilaient les salons de beauté ennemies jurées du naturel, magasins de nourriture entassant des métiers tels que poissonnier, boulanger, charpentier, boutique de loterie minuscules envers ses voisins experts en mode vestimentaires ou arnaque financières. Prenons cet instant précis, à la sortie de ladite boutique, qui illustrait une de ces discussions antipathiques qui se déroulaient entre père et fils:

« Bonne idée ses formulaires d'avis sur les films, c'est toujours sympathique d'expliquer ses préférences vis à vis sur le papier, commença Karls Magma, pliant une feuille maigre de petit format, les portes d'ouvertures automatiques refermées derrière lui.
-Si l'on veut, se contenta de dire Haïku.
-Ça n'a pas l'air de t'enchanter, Kyu.
-Les affaires ne sont pas très réjouissantes chez la cinématographie, depuis que nous, citadins, avions décidé que voir les films sur écran plasma en boîte était plus branché. Résultat, les producteurs désespérés payent beaucoup d'entre nous pour distribuer cette paperasse, dans l'intention de repérer un motif clé, qui les motiverait continuer à produire et visionner les films sur un écran blanc. C'est vraiment déplorable à voir, aboutit il, les yeux rivés vers le ciel.
-Toi alors... Tu es difficile, lança son père.
-Si difficile et réaliste sont la même chose, alors je préfère l'être plutôt qu'être hypocrite.
-Tu n'as pas de preuve. Qui te dis que ce n'est pas par bonne volonté?
-Prouver une affirmation? , posa t il calme. C'est une nouveauté. Et de toute façon quiconque est dans un pétrin, feint l'amabilité.
-Donc si je retourne ta phra...
-Je sais ce que je sais, trancha Haïku d'une voix neutre.
-Tu ne...
-Comme tu voudras, termina l'adolescent mûr, ôtant d'un geste vif le papier de matière méconnue, je vais jouer le rôle du pigeon berné.»

Passons à une montée de d'escalators d'un style esthétique d'une simplicité, où ils prirent un transport commun, d'une banalité; juste un proche descendant du métro, plus performant. Assis sur un des sièges libres, du coté de la fenêtre, Haïku, passait sa main sur sa joue, regardant l'horizon donnée, du moins ce que supposait Karls, qui entama la parlote déplaisante qui suivit :

«La rénovation de la station 12tertio a porté ses fruits, on dirait.
-Je ne dis pas le contraire.
-C'était bien lugubre avant.
-...L'actuelle picote les yeux cependant, nota le jeune homme.
-Toujours à reprocher n'importe quoi, lui reprocha son père. Kyu, tu n'as pas de goût.
-Je suis peut être anormal, je n'envie pas l'œuvre de plusieurs semaines de travaux de chantier, qui ont coincé ceux du quartier. Eux qui se fichent d'un meilleur transport de marchandise.
-Qui sert à maintenir l'économie de la région et offrent le confort à ses habitants? , imita t il, Tu oublies la notion de bonheur dans ta logique froide.
-De quel bonheur? Celui qui sert de prétexte? , demanda t il l'insolence minime mais existante.
-Je comprends mieux qu'avec un tel comportement tu ne cesse de lancer des râteaux, s'exaspéra t il.
-Éloigne toi encore plus du contexte, ça m'arrangerait.»

Cessons donc de répertorier ces anecdotes, nous avons bien insisté là-dessus. On as compris que leur relation par le sang n'était des plus joyeuses.
C'était la fin de l'après-midi. La destination de leur odyssée quotidienne mais fâcheuse était imminente.

«Qui voilà, là bas? , fit Karls d'un air faux.
-Tu n'attiras pas son attention en restant si distant, ajouta son fils.»

Sur le même trottoir, près de l'entrée d'une structure technologique avancée d'après ses reliefs de bon style, patientait un couple et leur protégé. Le partenaire masculin, le corps d'ours au sens propre par des musculatures exagérées, portait un costume noir typique des buralistes, dessus une veste au teint gris pâle, et un pantalon de couture classique. Son chapeau de vieillot devait cacher la nudité de son crâne. Le monsieur à l'aspect de grand gaillard focalisa ses yeux noir charbon sur la famille pénible, et dès ce, ses rides méchantes devinrent enjouées :

« Karls, tu es finalement venu! , s'exclama t il, rieur.
-Ça fait un bail, Jilly! , lança t il, donnant une poignée de la main.
- Oh, je t'en prie appelle moi plutôt Arrow, ma popularité n'est rien comparée à la tienne, ici.
-Chéri, c'est un ami à toi?, demanda sa compagne.
-Voyons Monique! »

L'appelée Monique, demoiselle quoique dame pas frêle d'apparence, était vêtue d'un joli chemisier blanc de haute classe très soigné assorti à une jupe rouge magenta taille haute qui descendait sec en diagonale. Ses cheveux blonds à la coiffure délicate semblaient s'être blanchis avec l'âge, et son visage décoré de quelques fossettes à mi-chemin téméraire décrivait l'expression d'une femme aux souvenirs au rappel. Ses yeux colorés comme les plantes s'écarquillèrent alors.

« Ah oui, ce Karls! , s'exclama t elle à son tour, faisant la bise.
-C'est bon de te revoir! , ria le concerné.
-Et, là nous avons...?, redemanda t elle désignant le jeune homme.
-Je suis son fils, Haïku, se présenta t il.
-Non, c'est ton gamin?, fit elle, voyant Karls acquiescer. Mais tu as grandi! ( elle s'approcha, lui faisant la bise), la dernière fois que je t'ai vu, tu avais trafiqué je ne sais quoi avec mon Queen Météor, hi hi!
-Je me souviens, comment tu l'avais pris à l'époque, dit Arrow, riant de plus belle avant de se retourner, Shelfy, dis bonjour aux amis de papa et maman. »

Un jeune garçon apparaissait de derrière, timide. Les cheveux courts et châtains clairs, le petit Shelfy, était habillé d'un petit manteau gris dépourvu de capuche bien épais le gardant au chaud, contrairement à son petit jean blanc. Il avait hérité de la couleur des yeux de son père;

« ...B-B'jour, bredouilla t il.
-Il est un peu réservé avec les gens qu'il ne connait pas, le petit.
-Dites, on peut y aller là?, proposa Monique frissonnant, parce que ça commence à cailler.
-C'est toi qui a voulu t'habiller chic, répliqua son mari.
-Avant que la météo m'apprenne qu'on allait perdre dix degrés d'un coup, oui, riposta t elle.
-Il gelait encore plus hier.
-Steward doit nous attendre, allons y, acheva Karls »


« Falcon! Arrow! Et Mrs Arrow! Bienvenue, heureux que vous revoir »

Annonça Docteur Steward, à leur arrivée. L'homme, dépassant la cinquantaine, sa carrure svelte, possédait sa tenue de protection, une sorte de blouse destinée aux scientifiques de haut grade. La coupe de ses cheveux blonds gris courte, il laissait sur son visage un sourire neutre, quoique vantard. Sa salle de travail était composée ainsi: murs dessinant une forme circulaire, plusieurs outils scientifiques disposés, que séparaient des contenants de liquide noyant organismes méconnaissable, le métal dominant, la pièce alors décorée d'une certaine obscurité. Obscurité faible tout de même, car de spacieuses vitres laissaient s'infiltrer la lumière du jour approchant sa fin. Présentations, salutations faites, les invités et l'hôte vinrent se réunir autour d'un meuble central d'une grande surface plane similaire à celle d'une table, sans chaises ou autre supports de fesses. Des document trainaient dessus, représentant des schémas ambigus, on disposait d'un écran aux pixels allumés, qui affichaient des circuits têtus.

« C'est exaspérant à quel point nous sommes si peu, soupira le docteur, j'espérais au moins la présence de Jody, Mighty et Jack...
-A en croire que la compétition les retiennent, constatait la célébrité cachée.
-En dépit de ton absence, compléta Arrow, suspicieux.
-Disons nous que c'est déjà mieux que personne, lança sa femme. Si je ne... Si nous n'avions pas eu l'idée de réserver l'inscription de notre petit dans la meilleure université de la ville, je doute que nous aurions eu le courage de venir!
-Je pense que tu as raison, chérie.
-J'aie raison, chéri, corrigea t elle sournoise.
-Puisque qu'on est là, finit par dire Captain Falcon, autant que tu nous fasses part de ta découverte. C'est la principale raison de ma visite et de la notre à tous, je présume.
-Sur le phénomène de stricte stabilité bio-universelle? Ce n'est pas une découverte à proprement parler mais...
-Dis toujours, la moindre information peut être capitale.
-Soit, fit t il, marchant de droite à gauche les mains jointes derrière. Après plusieurs années d'étude, d'analyse durant lesquelles j'ai tenté de résoudre le problème, plusieurs années sans réponses...
-Jusqu'à maintenant.
-Oui, bien sûr. J'ai émis plusieurs hypothèses, que j'ai travaillées, et retravaillées, et j'en ai conclu quelque chose.
-Et qu'en est il? , s'impatientait le mari robuste.
-Je pense avoir trouvé une explication plausible à ce phénomène. Seize années se sont écoulées depuis l'apparition de cet événement, trois années plus tard, nous l'avons découvert; nous avons appris qu'une partie plus ou moins importante de la population ne grandissait plus, ne vieillissait plus. L'année suivante, nombreuses équipes scientifiques ont rapporté, de leur enquête, une nouvelle inquiétante.
-L'arrêt de l'expansion de l'univers, c'est cela? , se laissa dire la dame du groupe.
-C'est cela. Les deux années qui suivirent encore ont permis de déterminer sur la carte géo-universelle les limites de... jusqu'où le phénomène a frappé, je parle de la zone 327s;32eX-93-Y783d;2712t, connu aussi sous le nom de...
-Nous connaissons, Docteur Steward, coupa sans impolitesse Haïku, allant observer par la fenêtre lointaine. Vous feriez mieux d'aller droit au but.
-Oui... oui, je comprends, vous aviez raison, s'excusa t il, respirant une bouffée d'air avant de reprendre. L'univers régresse, et donc je suppose que nous sommes arrivés à un stade précis du cycle de la nature.
-J'ai peur de ne pas bien comprendre, confessa Monique ses sourcils signalant sa confusion.
-Je veux dire... qu'il se peut que nous sommes arrivés à un moment où nous retournons en arrière, censé protéger l'univers.
-Tu insinues que si beaucoup ont cessé de vieillir, comme Falcon, ce serait pour une bonne cause?
-Attention, Je ne dis pas forcément que c'est bon ou mal. Arrow, saurait tu estimer combien y a t il d'êtres vivants en ce moment même dans le monde?
-..., réfléchit il, environ des millions de milliards?
-Perdu. Des milliards de milliards de millions à la puissance dix.
-Euh... oui et?
-Ne penses tu pas que nous serions trop un jour?
-Tu veux dire que...
-Oui, ce... problème serait apparu dans le but de protéger l'univers du surplus d'habitants mondiaux, le programme génétique de la majorité des habitants a été stoppé, modifié de façon à ce que l'on ne puisse plus vieillir, croître voire donner naissance. Or, cela ne change en rien la vulnérabilité contre la mort imprévisible, comme la guerre, les catastrophes naturelles et tout autre, et contre la maladie. L'univers se compresse instinctivement pour réduire le nombre et exterminer les matières non biodégradables et indestructibles.
-C'est insensé, comment une telle chose pourrait arriver? , peinait à croire l'épouse, pendant ce temps son enfant quittait le groupe des adultes.
-C'est un peu la faille de l'hypothèse, qui laisserait penser qu'il existe une sorte de source.
-Un endroit où s'organise le système de la nature, c'est invraisemblable...
-Oui, ça en a l'air... , affirma t il peu enthousiaste, portant son regard sur Captain Falcon, comme occupé par ses pensées.
Falcon... quelque chose me dit que tu en sais bien plus que nous tous, tu es muet depuis tout à l'heure. En plus la date de l'évènement, et ta disparition coïncident.
-C'est vrai, approuva le gaillard, tu ne nous en as jamais parlé en détail. »

Il resta indifférent. Il ne semblait vouloir aborder ce sujet, disait son visage sévère, les sourcils froncés. Il ne réagit point. Captain Falcon était ailleurs.

-Votre théorie est intéressante, docteur, brisa le silence la voix du jeune homme tourné vers la fenêtre, la tête orientée vers l'étendue orangée du ciel, j'aurais pu penser que vous m'avez déçu, elle est tordue. Néanmoins il y a du vrai.
-Comment?
-Oui, ce à quoi vous faites allusion, c'est à une pomme, infestée de vers. Il suffit de la broyer pour les exterminer, c'est radical mais efficace. Le fruit est détruit aussi, alors que les graines, elles, survivent. Et elles tombent sur terre, laissant germer une pomme plus ou moins parfaite. Reste à savoir si les graines sauront atteindre la terre promise.

Lorsqu'il termina sa démonstration, le silence revint. Monique portait un regard admiratif, elle chuchota ensuite à Karls:

-C'est une énorme chance que ton fils n'ait pas été touché, regarde ce qu'il est devenu, tu dois en être fier, hi hi!
-...On peut dire ça, répondit il enfin.
-Ah la jeunesse..., se joignit Arrow.
-J'en vois un qui aurait voulu avoir le syndrome, se moqua t elle.
-Vous ne partagez pas grand chose en commun, se confia le docteur Steward à voix basse, sa façon de parler doit venir de sa mère.
-J'aurais bien aimé la connaître.
-Comment s'appelait elle déjà? Gillias? Bella? A moins que ça soit Pamela?
-Enfin chéri ne soit pas ridicule! C'est...
-Lyla StMerveil, proféra le père Magma. Comment pourrais je l'oublier, elle?

Le jeune Shelfy s'adressait, confus, à son fils. Il ignorait de quoi ils discutaient, on attirait son attention, loin derrière la vitre transparente.

-Qu'est ce que c'est ce bric à brac là bas, je croyais que la Morgue n'acceptait ce genre de travaux, par souci de sécurité?
-Ah oui, le meurtre à la Morgue de Port Town a fait un scandale, tu sais, expliqua le scientifique. Ils ont décidé de transférer tout les fichiers d'identité et de renforcer la surveillance.
-C'est vrai qu'ils sont vraiment terrifiés à l'idée qu'on s'empare des données, leur système de protection a été remis en cause. Ça m'a surpris cette nouvelle, je n'aurais jamais cru qu'un meurtre puisse y avoir lieu. On ne sait même pas d'où vient la victime.
-Heureusement pour eux – et pour nous! – qu'il y a quatre exemplaires pour chaque, chéri.
-Cinq, rectifia Steward.
-Cinq? , lâcha Karls avec un certain étonnement.
-C'est confidentiel. Il y en a un dans la base de données interplanétaires, un dans la base de donnée du satellite principal, un à la préfecture de la mégalopole numéro une, et deux dans la Morgue.
-Deux dans le même lieu? Étrange système.
-D'où l'initiative, ils sont conservés dans le sous sol le plus profond du bâtiment, la sécurité là bas n'a rien de commun avec celle à la surface. J'ai eu ces informations en tant que docteur réputé, mais je sais bien que vous ne divulguerez ces informations.
-Il aurait été tout de même plus prudent de ne rien nous dire, reprocha t il, Steward, la mégarde a toujours été ton plus grand défaut.
-Je sais, tu m'excuseras. Au fait, aviez vous ma nouvelle...

Karls Magma n'écoutait plus, son regard était captivé par le large immeuble obscur qui se mêlait parmi les constructions voisines. L'image qui se gravait dans ses iris était sordide.
La nuit tombait.


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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeJeu 5 Aoû - 23:57

roh c'est long :o.Je lirais ça la journée
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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeSam 7 Aoû - 20:17

Courage. [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 613605
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Pushy

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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeSam 7 Aoû - 22:44

alé je vais le lire ton truc je suis le suel il faut bien te donné espoir x)
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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeLun 20 Sep - 18:16

Bon, je vous poste la suite. Et malheureusement, il faudra désormais la suivre sur jeuxvideo.com http://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1370875-1-0-1-0-fic-la-peine-du-dernier-bourreau.htm , chers lecteurs car je vais partir.

Chapitre 8: La morgue de Port Town, matinée

Troisième partie :


« Capitaine... vous êtes en train de dormir, là? »

La réalité et son univers lui furent réapparus, comme une obligation. Cette dure formalité, il aurait voulu se passer d'elle, ça, de ce ridicule d'Allivia, inclus auquel des perpétuels graffitis parlants, réalisation d'un mélange de différents baratins, crayonnages sentant des odeurs pénibles des personnages principaux ensanglantés. Et l'ensemble se reposait sur un support cru efficace et adapté pour, qui dut choisir entre se plier en quinze ou ne pas supporter sa tâche. La première voie paraissait pure évidence.
Face à l'appel, « Capitaine » Falcon souleva sans vivacité sa tête, son cou ne parvenant à transmettre les douleurs articulaires attendues. Ses yeux aperçurent vite le visage d'un Lucas essoufflé, une déduction expliqua pourquoi; la jungle humaine s'était efforcée à lui infliger des épuisements physiques concrets.
Il jugea entre temps, selon l'énergie intensifiée des néons lumineux du hall, que l'heure était une des dernières de la soirée, la douzième devait approcher. C'était pitoyable d'arriver à un point où les repères chronologiques étaient flous, faute d'une attente trop permanente.

« Non, lui adressa t il mensonger.
- Je pensais pourtant, laissa entendre le blondinet surpris. Tu sais, je suis retourné (on percevra une légère accentuation sur le préfixe du verbe) voir s'il y avait des nouvelles de Ness, s'il allait bien, et on m'a dit que – euh – qu'ils vont lui faire des... des – comment ça se dit déjà? – ah oui! Des zélectro...radiogrames!
- « Électrocardiogrammes », rectifia t 'il l'air machinal, sans «z», ni de «k», avec un «c» à la place, double «m» et «e» à la fin. C'est toujours bon à savoir.
- Ouais d'accord, se pressa t il de dire mal à l'aise. Et ils ne m'ont pas dit qu'est ce que c'est? Vous le savez, vous?
-Cela veut dire qu'il n'en mourra pas.
-Mou-Mourir?! , s'exclama l'enfant, je pensais pas que c'était grave de chez grave!
-Hum, hum. »

Le jeunot prit ces «hums» en guise d'un «Assied toi, plutôt, tu en as assez fait», ce qui ne le mécontenta pas, au contraire.
Quand il y repensait, c'était incroyable, lui qui croyait avoir bien cerné cet homme. Sa naïveté n'avait pas manqué de l'induire en erreur, dès sa rencontre il s'était donné le préjugé grossier « d'un super imbécile inconscient au bête langage d'abruti  ». Oui, qu'elle était grosse son erreur. Cependant il le considérait toujours aussi étrange et impénétrable, si bien qu'il devait y avoir un monde à part entre deux, qui agissait tel un mur solide. Plouf, ça y est, son petit cerveau se saturait de questions basiques sans réponse maintenant. Se tortiller le crâne était pour plus tard, le principal était qu'il avait sauvé Ness. Puisque c'est lui qui avait tout dirigé, sans son aide Ness n'aurait pas été sur Cornéria, dans un des meilleurs hôpitaux, dont les apparences ne le dupaient plus. Et son ami, donc, de quoi souffrait il, quel était le problème.
Il chercha une place, avant qu'il ne s'embrouille encore, compte tenu que ses pieds en état compotier ne tiendraient pas un instant supplémentaire. Facile à dire, difficile à faire, tout était bouché, aussi c'était un faible mot.

« Si tu veux, tu peux te mettr-euh là. »

Justement, en parlant d'incident, Olimar n'était pas innocent dans l'histoire. Devait il accorder crédit à cet astronaute loufoque, ce bonhomme, apprivoiseur de Pikmins, ses créatures autant bizarres? Sous ce point de vue, Olimar avait peut être une allure inoffensive ou amante, mais il n'avait pas oublié son comportement de la dernière fois, qui avait subit un changement si radical. Il ne doutait pas, car le patois employé, incitant à prononcer les voyelles muettes, caractéristique propre à sa personnalité normale, sut lui permettre une confiance provisoire. Il ne refusa l'offre et fit un geste de la tête affirmatif.
Les Pikmins voisinant leur compagnon décidèrent de se regrouper, des rouges forcèrent à dégager d'autres, bleus, qui ne s'empêchèrent de rouspéter, plein de petits cris d'émeute colériques s'entendirent, notamment ceux des violets, tandis que les blancs obéirent ne rechignant; un Pikmin jaune ordonnait de continuer, il s'était charger de vérifier quand il y aurait l'espace nécessaire. Ceci étant, au prix de sueurs.



Ce fut une nuit, au ciel posthume d'un jour pas particulier.
Peut être, était il supposé, que, quand s'admirait la profondeur mal-orientant des couloirs, un tracas d'obscurité, une envie de lumière. Autour, ils présentaient des plaques et toujours superposées, juste du matériel artificiel devenu minutieux, expliquait la conclusion de leur apparence perfectionnée, propre et parfaitement sans faute de façonnage. Progresser sûr dans cet environnement requérait d'abord des cordes vocales sages, une tenue pas ample, moulante et surtout s'abstenir de glousser, si l'on ne veux que le son soit guidé grâce à la surface des murs travaillée vers un écho, même le vent n'était pas un privilégié. Remerciement pour cette ingéniosité voulue.
Lors de l'exploration, il serait galant de sourire élégamment aux appareils si captivant, au moins la photographie ou filmographie donnera bonne impression . Gare à ces machines, intelligentes et sous-estimée souvent, elles n'oublieraient pas leur fonction d'inspectrices, et n'omettraient , le moins qu'elles pussent, d'angles de vision, jusqu'à épargner un reste, ramassis d'angles trop pénibles, tant qu'à faire impossibles. Les malheureux tentant de les corrompre paieraient cher, car leur programmes spécialisées contre le piratage réagiront, suite à une analyse et détermination de pot-aux-roses – par exemple une modification informatique volontaire non permise ou essai. Et elles, ces lesdits outils, pencheraient pour un verdict négatif, qu'elles confirmeraient à une vitesse championne. Et se déclencherait une alerte, effroyable chose, productrice d'une sirène stridente, là où le pas ne pourrait plus être reculé. Soit nous verrons un joli décor lumineux rouge nous éblouir.
Un voyage prometteur à propos de détestables corvées, principalement les traversées. Plusieurs salles, active se proclamaient passages intermédiaires, leur argument étant leur composition de professionnels conviés, payés à des horaires redondants, pire que vingt heures sur une journée. Cela qu'on ne pardonnait pas pour autant avec un système de surveillance inéquitable.
La règle s'appliquait sur n'importe énième étage, en globalité.

Ceci étant dit, la Morgue de Port Town partageait un même point sensible dans sa catégorie: Les facteurs exceptionnels.
Ce de quoi Karls Magma profita beaucoup.

Prenons un stratagème simple, un parmi plusieurs, d'innombrable, qui prend forme à l'immédiat au simple flair d'une circonstance fâchant sa cible.
Un promeneur surgirait là, se faufilant derrière des motifs ordinaires et futiles. Discret, il contreviendrait à la loi, pourrait être condamné pour vol d'affaires professionnelles; un casque d'ouvrier, des outils d'ouvrier, rangés dans un trousseau de travail d'ouvrier. Le promeneur devenait ouvrier, à court temps. Il s'infiltrerait dans le chantier de rénovation de la Morgue de Port Town, et peinerait à trouver des obstacles, si ce n'était que risquer d'avoir sur son casier judiciaire « Vol de carte d'identité », le passe en bonus. Le petit criminel irait parler en personne au chef dirigeant de la main d'œuvre, lui informerait que sa première tâche serait de réparer la cage d'une bouche d'aération qui s'ouvrait facilement, adoptant un ton primitif et digne d'un innocent. Et il ferait tomber le chef dans le panneau. La pratique ne contredira pas la théorie. Ce point ramenait aux problèmes impossibles sur le salaire et la détermination des employés, que nous ne citerons pas, laissant cela aux politiciens.
Nous retiendrons que la Morgue de Port Town ajoutée à des circonstances particulières telles donnaient un contraste de vigilance, une déstructuration de l'équilibre sécuritaire.

Avant d'entamer le chapitre premier d'une bonne intrusion, le criminel se débarrasserait de son masque de chirurgie hélas quel cliché, enfin il s'enfoncerait au fond des conduits, la voie de l'espion, et percevrait une issue espérée, après, il apercevrait une nouvelle voie secrète, peut être un nouveau conduit, s'y enfoncerait. Et ainsi allait l'opération en boucle, afin d'avoir peu ou pas d'âmes qui vaillent. Et le conte prendrait fin, fini la féérie, bienvenue l'explication.
A cause du chantier, il avait été décrit un périmètre de rénovation dans lequel, les organisateurs avaient amoindri la sécurité, c'est à dire diminution flagrante d'ustensiles de surveillance, et de l'efficacité des restants, puisqu'il serait très gênant que ceci les perturbassent, résultant une mauvaise amélioration n'atteignant leurs espérances. Déjà que ceux qui travaillaient dans l'établissement l'étaient, d'où un nombre d'actifs faible cette soirée et cette nuit, aussi plus on s'approchait de ce fameux périmètre, moins on ne se sentait épié.
C'était le chapitre deux du bon intrus, titré ainsi : «  comment saisir les tolérances? ».

Le prochain était le dernier, car les frontières d'un monde définitivement à part étaient franchies, les opportunités n'existaient plus. Il était demandé des qualités telles que prudence, dextérité, agilité poussée à un niveau extrême et des péripéties de réflexes, et d'initiatives. Place à la personne qualifiée.

L'expert saurait, disons, parcourir l'air de rien ces cellules imposées comme passages indispensables où l'ambiance du solitaire et du lugubre fabriquerait une sensation culminante. Y compris cette salle, conservatoire de morts, ayant rendu un dernier souffle il y avait peu de cela, et dits inconnus. Admirerait on différentes barbaries de sauvages et œuvres d'art criminel, s'ils n'étaient fourrés dans ces cachettes, ou plastiques de poubelles, empêchant trop davantage de violations de l'intimité. Les rangées, une douzaine de containers de cadavre dessus dessous, se disposaient parallèles tantôt perpendiculaires, des tables, servies ainsi supports d'autopsie, se réservaient le reste de la surface avec les fournitures médico-scientifiques. Percevoir des voix étonnerait, alors, et pourrait faire imaginer quelque histoire de fantôme farfelue.
Karls Magma qui poursuivait sa quête de terre promise s'étonna. Son rythme de pas inaudibles stoppa, remplacé par une musique muette orchestrée avec une course silencieuse dépêchée, se terminant dès qu'un emplacement discret offrant une vision riche en prudences se montrait à lui. Il s'était juré d'avoir entendu les paroles d'un homme.
Dès qu'il décela d'autres mots prononcés, il s'efforça de les décrypter. Une chance que l'endroit était équipé d'une fonction de repérage sonore de qualité très piteuse, puisqu'il y avait une activité assez grande, au quotidien, qui ne permettrait pas ces manières, et ce gaspillage financier. Ce n'était pourtant pas une raison pour se comporter ainsi; parler.
En solitaire.

« Pardonne moi. Si j'avais pu... J'ai été même incapable de t'épargner ce..ci...Qu'est ce que je peux faire?  »

Il aurait pu continuer à écouter ces mots, créateur d'un présumé morceau mélancolique d'amertume, mais il ne le voulut. L'objectif était sa seule priorité, sa volonté primordiale.
Donc, il fut question d'accélérer dans son exploration, jusqu'à le, l'inconnu, semer. Et re-plongeon dans la jungle de l'obscurité, sous un sentiment de déprime et non d'excitation. Coupons les instants lassants.

On atteignit le sommet, mauvais terme, le sous-sol, un combattant un record de profondeur optimal. Le dernier étage fournissait des caractéristiques à ne s'y attendre. Tout d'abord, il n'était compté qu'une unique pièce, espace clos et encerclé par une superficie vide d'ameublement; les couloirs n'étaient pas; comparée telle à ça, elle paraissait très restreinte. Ce sous-sol se dotait d'une impression stylistique et imagée joliment créée, tandis que certaines populations simplettes n'y croiraient pas; selon cette influence artistique, la chambre isolée dupait de façon à ce qu'elle fasse penser une représentation d'un pilier, qui soutiendrait la Morgue de Port Town.
Sa porte avait été conçue, animée par une intention sérieuse de tromper, fausser la piste, avec sa banalité. Presque vulgaire, elle creusait une silhouette d'un rectangle caricatural et imitait un bois archaïque que quelques manoirs croulants s'attribuaient.
Il était sûr que l'entrée avait reçu des consignes de protections, et pourtant l'imprévisible décida de ne s'en limiter qu'à un seul type de mot de passe; un code digital plaqué derrière sa poignée ronde commune comme celles de ces manoirs, ou de résidences âgées. Quoi qu'il en soit, les touches numériques et alphabétiques étaient secrètes pour une première vue, globale de préférence. Remarquons une absence d'analyse biométrique, qui signifiait que l'on, ou que le grand patron de l'établissement, témoignait large crédulité à des professionnels. Assez pour qu'ils connaissent dans la foulée où avait débutée sa carrière: «  Chez un magasin de tabac, ou de loterie, je me souvians plus ».
Qui trouverait crédibilité à une taille si longue, une phrase si mal formulée et bourrée d'une faute de frappe, avait il imaginé. Par contre, ce ne fut pas intelligent de sa part d'avoir demandé que cette protection soit coupée de la base de données, afin de respecter le silence des raisons de son ouverture. Allait l'abus de confiance.


Notre Alice se trouvait au pays des faits divers, elle disposait de toute réponse à toute question, elle saurait alors quel drame domestique avait frappé l'Allée des Couleurs, découvrirait l'identité du témoin de l'attentat de l'ascenseur du gratte-ciel Mute, connaîtrait la date de la planification de l'arnaque à la gendarmerie de la ville de l'Océan de sable, et même apprendrait le pourquoi du bannissement de la mère du président du Palais du Casino rouge.
La Morgue de Port Town avait une dernière carte maîtresse qui misait tout sur les apparences.

La pièce finale n'était que très peu ordonnée, tant peu que l'on ne pouvait piétiner le sol, juste ces coffres métalliques dénués de verrouillage, protégeant des informations et des informations, marquées, rédigées et classées sur du papier blanc imperméable, nous rencontrons le support pulvérisateur de pirates. Elles étaient prises en soins, ces paperasses, elles n'étaient pas pliées, ou déchirées, et s'armaient de pochettes plastifiées qui assuraient une seconde protection. Les piles de documents semblaient si bien rangées qu'elles combleraient les maniaques du ménage. Une telle organisation empêchait de savoir ce qui avait été lu, à l'évidence.

Karls Magma alla commencer son enquête finale; il feuilleta des dossiers. Il fallait savoir que dessus ces gros objets étaient écrit une lettre initiale suivie d'un chiffre partant de « 1 » qui pouvait varier, dépendant des lettres qui suivaient, Karls Magma, lui, était parlé dans la boîte « K2 », qui n'était pas le centre de son intérêt. Il avait déjà terminé le premier coffre concernant la lettre concernée.
Il vit le nom. Dépassant avec d'autres noms lorsqu'il fit glisser les feuilles.
Enfin il rangea les piles qu'il avait perturbées, et fit vider le plus de contenants qu'il pouvait et dont il avait le temps nécessaire. Ensuite il dérangea les papiers qui volèrent autour.
Il sortit du trousseau de travail qu'il avait volé un outil quelconque capable de générer une étincelle. La flammèche de l'instrument, suite à un petit bruit, partit prendre contact avec ses proies, un contact qui fit noircir le papier. Et des flammes proliférèrent.
Karls Magma quitta les lieux, une fois qu'il eut démarré l'invasion incendiaire. Au loin, il adressa un dernier regard remplis de mystères personnels à ce brûlis, et soudain il y eut une étrange réaction.

Les flammes voulurent l'avertirent, lui communiquer un message, du moins ce qu'il crût. Les flammes dessinèrent des lettres qui s'éteignirent ensuite, et recommencèrent.
Parmi, il ne put comprendre que trois mots: «Soleil» , «instant» , et «étoile».

Karls Magma songea qu'il était plus important de fuir, ce n'était pas maintenant qu'il devait tergiverser, les hallucinations n'étaient permises. Il devait fuir, avant que l'on ne s'aperçoive de la hausse de température. Les eaux anti-incendies l'arrosèrent, pareilles à un châtiment.

Il n'avait pu voir seulement «Soleil», «instant» et «étoile»


« Bonsoir Docteur Steward, vous voilà enfin.
-Salutation à vous aussi, monsieur le sergent.
-Vous vous demandez pourquoi nous vous avons contacté, n'est ce pas?
-Oui, en quel honneur. Je suppose que c'est à propos...?
-Vos suppositions sont exactes, c'est bien en rapport à cette affaire qui ternit la réputation de la Morgue de Port Town.
-Donc, que puis je faire pour vous?
-Voyez la victime. Nous n'avons pu que prendre des clichés ici, malheureusement ils sont toujours en train de l'analyser..
-Je dois la voir?
-Ne vous gênez pas.
-Comme vous vous voulez, moi-même je suis curieux de savoir à quoi ressemble...oh... quelle sauvagerie...
-Vous devinez maintenant?
-... Oui, bien sûr. Mais, je suis désolé de ne pas pouvoir vous aider. J'ignore totalement de quelle origine vient elle, je peux juste dire que c'est un croisement d'espèces qui n'est pas issue de notre galaxie, mes connaissances et mon faire-savoir vous le garantissent.
-Ce qui ne nous mène pas à grande chose...
-Puis je me permettre de vous demander ce que vous savez d'elle?
-Je pense que vous, Docteur, avez le droit de savoir, mais il n'y a presque rien à dire sur son identité, excepté...
-Excepté quel fait?
-Nous pensons connaître son nom, bien que nous ne sommes en mesure de le certifier avec des preuves concrètes.
-Mais dites je vous en prie.
-On a retrouvé sur le lieu du crime un objet qui ne provient pas de l'immeuble. Et il semble lui appartenir.
-En quoi est ce que vous pouvez l'affirmer?
-Eh bien... d'après ses couleurs, son goût.... Cette arme a l'air de lui être assortie.
-Arme?
-C'est un marteau. On a retrouvé une inscription sous le manche.
-Savez vous que le suspense est insoutenable, monsieur?
-Vous m'en excuserez.
-Seulement si vous évitiez de le faire durer.
- Seriez vous satisfait si je disait qu'elle s'appellerait... Amy Rose. »




Fin de la troisième partie.
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Pushy

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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeLun 20 Sep - 23:54

JVC NOOON :( tu peux toujours posté ici meme si tu viens plus :(
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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeMar 21 Sep - 19:41

D'accord, mais tu vas devoir attendre beaucoup plus longtemps que d'habitude pour mes suites. [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 87677
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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeMar 21 Sep - 19:44

pg, je suis pas 24/24 sur le fofo [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 613605
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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeJeu 23 Sep - 19:03

Tant mieux pour toi alors. [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 87677
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MessageSujet: Re: [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau   [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 Icon_minitimeMar 2 Nov - 14:32

Attention à vos yeux. [Thriller] La Peine du Dernier Bourreau - Page 4 613605

La Peine du Dernier Bourreau

Chapitre 8: La morgue de Port Town, matinée

Quatrième Partie:

Ce fut un midi, une heure où, sur les dernières horloges mécaniques, l'aiguille aînée n'avait encore rejoint sa sœur cadette, où la fraîcheur matinale subsistait toujours.
Des brises de vent glacé se promenaient au sein de la ville de Port Town. L'ère automnale avait commencé. Ces vilaines rafales prenaient le malin plaisir de faire frisonner les habitants. Les personnes frileuses de nature avaient déjà été prévenues de cette invasion; les volets de fenêtres manuels – si toute fois ils avaient survécu à la modernité- étaient verrouillés à triple tour. Du coté de celles de caractère susceptible, elles avaient pris le réflexe de beugler à l'immédiat dès que les portes manuelles – si elles aussi avaient échappé à la retouche automatique- s'ouvraient. Quand à ceux démunis de protection quelconque, le vent se faufilait entre leur cuisse, frôlait leur côte, et leur chatouillait le ventre. Et ceci d'un comportement de brute digne d'une bande de gosses pickpockets.
Son terrain de jeu ne se limitait pas à un espace à l'air, après tout connaît on une ville capable d'avoir sa totalité de lieux en fermetures hermétiques, ne serait ce qu'une journée? Non, la ville ne dormait jamais, suivant le modèle de ses cousines germaines et de son aïeule.
Les brises matinales rescapées adoraient s'infiltrer dans des petites boutiques; par exemple, elles s'introduisaient à répétition dans le petit bistrot du coin, « Mamamuth Welcome ».

C'était une aire de détente qui, malgré, était d'un climat équivalent à la température d'un frigidaire. Car il y était coutume de désactiver le chauffage de la période de mi-printemps jusqu'au pré-hiver, à défaut de finances suffisantes pour un fonctionnement annuel. Ajouté à ça une maigre valeur en mètre carré, c'était la cour de récréation des courant d'air.
Ainsi, les deux portes automatiques ne pouvaient s'empêcher de s'entre ouvrir, de se refermer avec quelques gémissements en bruit de fond.
La clientèle habituée, elle, avait déjà prévu cette circonstance agaçante, avait alors apporté la solution miracle: le manteau de fourrure. Oui, tous étaient équipés de cela, du cou au cuisse, leur mobilité aussi restreinte qu'une demoiselle armée d'une jupe de bureau. Pourtant, il y avait bien d'autres solutions moins contraignantes. A vraie dire, ce n'était pas juste une tradition telle; c'était ça ou bien subir le supplice que réservait le barman aux clients non détenteurs de fourrures. S'il y avait une tradition dans ce café, c'était l'idolâtrie de sa mascotte, le mammouth. Et donc, les employés ne perdaient pas une opportunité qui leur permettrait de vendre à prix zéro un somptueux manteau de fourrure de mammouth d'une laideur éléphantesque. Toute personne ayant du goût pâliraient au premier regard, et souffriraient vite des premiers symptômes d'une diarrhée au toucher.
On devait cette grande charité au propriétaire de la buvette, duquel on ragotait sur son amour des côtes de mammouth saignantes.
Bref, Karls Magma avait pris soin de ne pas tomber dans ce piège machiavélique, il se trimballait avec un manteau à poils censés ressembler à des poils de rat dit ragondin.

Il se reposait là, assis à une petite table calée contre la vitrine du bar, admirant un panorama routier bourré de décorations industrielles. Sur la table se tenaient deux tasses, la première contenant quelques doses restantes d'héroïne légalisée, l'autre remplie de thé vert. L'homme bouquinait un journal électronique en vogue, la première page intitulée en gros caractères « Morgue de Port Town : Une sécurité de toute perfection? ». La lecture le rendait pensif
Rien d'incroyable, puisque Karls Magma était devenu un criminel. Il fallait donc bien songer de nouveau à sa planification, qu'il avait manigancé pendant un petit mois. En fait, il était soucieux de la présence plausible d'une erreur de logique, ce qui l'incitait à réviser le déroulement complet des évènements jusqu'à aujourd'hui, car c'était au niveau des conséquence que les choses se compliquaient.
Une faille de la taille d'un micro-pouce révélée et les forces de l'ordre viendraient lui offrir le luxe d'un aller gratuit en prison, avec une peine perpétuelle sur le dos. Cette pression ne le déstabilisait jamais; le seul effet que l'on pourrait constater serait des fréquents froncements de sourcils. Face à cette perspective du monde et des médias propre aux criminels, il conservait un caractère habituel. Par contre, il était incapable de minimiser son flux de mensonge.

Le scandale avait parcouru la galaxie comme parcourait le poison du cyanure dans l'organisme humain. Quelques heures après, la plupart des outils d'informations actuels annonçait l'incendie de la Morgue. Alors que douze heures avaient été demandées afin d'obtenir la permission de divulguer l'endroit où avait débuté le feu.
A ce moment propice, on avait cessé de fantasmer des hypothèses, tantôt xénophobes, qui n'allaient jamais aussi loin que la vérité, à cet instant fatal, une poudre de critiques violentes avait pris feu à son tour sur les quatre recoins du monde.
Son journal reflétait assez bien ce phénomène, les deux tiers de l'article ne s'agissaient que de plein d'argumentations de requins et de commentaires exagérant les points négatifs. Et parmi ces écrits, la quasi-totalité n'était dédiée aux dégâts matériels. Ce qui était naturel, vu que le lieu touché n'était qu'une base d'information de secours. Le problème posé remettait plutôt en cause le système de sécurité de l'établissement, énoncé par tels parti, telles sociétés, notamment les sociétés de bureaucrates traitant les données confidentielles. L'importance qui y était attachée pouvait faire rayer la Morgue de la carte politique-militaire.
Quand à la question du coupable, elle était peu abordée. Les seules théories existantes ne visaient que des groupes terroristes tapis dans l'ombre ou des mafias sacrées, et puis si l'on avait l'intelligence de suggérer que l'attentat soit le fruit d'une personne, on se tournerait d'abord vers les salariés de la Morgue. Quoiqu'il en soit, même à l'extrême, jamais Captain Falcon ne sera attrapé, ce n'était pas les raisons qui manquaient.
Cependant, prudence est mère de l'oisiveté, il avait veillé à se placer au-dessus des soupçons de son confident Steward. Quatorze heure suivant l'incident, il avait « accouru » chez lui, le visage couvert de sueurs de crocodile prétextant qu'il venait lui annoncer la nouvelle et tous deux passèrent un après-midi complet centré sur les pourquoi, surtout les comment.
Il avait aussi pensé à publier en deux temps deux critiques, une écrite de la part du vice président Karls Magma, la seconde lors d'un interview de la part de Captain Falcon. Le discours avait été corrigé par son fils à maintes reprises.
Dernière précaution évidente, depuis, il adoptait plus de faux-semblants dupeurs, en venant à mimer l'étonnement, ou placer un humour noir, et imiter l'amertume.
Cette histoire ne l'empêcha pas de suivre à la lettre ses programmes hebdomadaires

L'étape la moins facile, jugeait il, de la planification entière était de tromper Haïku Magma. Une main saisit la tasse de thé vert d'une chaleur supportable et d'un mélange parfaitement homogène. C'était la sienne. Haïku se tenait à la place de face. Il but une douce gorgée de thé, se modérait, et savourait son amertume. Tout en proférant un discours sur le solide rapport entre la commercialisation du coca et de l'héroïne, décréditant les deux boissons.
L'art de manipulation de la confiance, ou le domaine des parjures, nôtre menteur se doutait fort qu'il excelle l'un ou l'autre, bien qu'il n'en ai jamais eu la preuve vivante. En revanche, il était convaincu que là-dessus, il avait son pire ennemi. A l'évidence, quel autre rival de plus redoutable que le porteur de l'héritage de nos gènes? Une deuxième raison appuyait son intuition.

Cette mi-journée, le Haïku devant lui n'était point pareil au jeune homme du quotidien. Sa tenue n'était du style de l'urbain populaire, mais d'un style classique et strict. Son chemisier serré boutonné incognito était blanc, son pantalon louant étroitesse jusqu'aux mollets était noir. Ce parallèle de couleurs neutralisait le coté subjectif des vêtements. Les souliers à ses pieds était d'un marron terne tant son propriétaire les lustrait grâce à quelque mouchoir éclatant, tant les cendres de tabac parasitaient les pieds de tables. La machination se justifiait par des raisons évidentes non par une exécration de la saleté.
La différence physique était si désagréable que Karls ne savait apprécier son parfum aux amandes d' alchimie longeant des manches au col. Sa main délaissa sa tasse au thé, le contenu ayant baissé, et son poignet se retrouva momentanément nu, laissant remarquer une montre digitale fixée. Dont son écran s'enveloppait d'une buée chimique.
Un premier regard sur sa personne préjugerait un comportement sportif secondaire. Or Haïku n'était pas chétif, au contraire des musculatures se démarquaient beaucoup au torse et aux bras, il n'était pas du genre à privilégier l'intellectualité à la force. La contradiction visuelle devait s'expliquer du fait de la fluidité et le rembourrage du tissu de ses habits, atténuant alors les proportions musclées.
Le visage dessiné à cette heure caractérisait un scientifique aux pensées philosophes impénétrables, pouvant se fondre dans la foule humain comme il dégagerait en personne une impression de supériorité dû à la perfection qu'il incarnerait. Son père le voyait mal d'une mentalité si égocentrique, sinon ses belles paroles se centreraient autour de lui même, secondo il serait davantage antisocial. Ni l'une, ni l'autre caractéristique était compatible.
La couleur de la peau du bachelier s'approchait cette fois du jaune au lieu du rose américain. Sa chevelure était lisse, raide, sans épaisseur, les mèches, les pointes ne s'emmêlaient pas, ne s'enchaînaient point, elles étaient équitablement réparties, équitablement organisées. L'autre différence, d'une flagrance telle que l'on n'en s'apercevait pas, était la couleur. Le châtain, marron des marronniers de printemps d'amazone, manquait au rendez-vous. Le brun, nocturne des nuits hivernales lui avait prit sa place de force.
Ses pupilles partageaient aussi un noir identique, avaient délaissé le marron. Les traits de la jeune personne n'avaient rien à se reprocher, hormis leur semblant d'expérience. Sa voix était à son tour dénaturalisée, variant vers une sonorité moins grave.
Le maquillage, la teinture , le modulateur oral, les lentilles, etcétéra de manipulation de profil; c'était un aspect quasi-artificiel.
Un Haïku Magma sans rapport avec celui du quotidien. Le Haïku Magma de l'université. Et en prime, y possédant un faux nom.

Karls ressentait toujours un malaise transparent, face à cet homme-là. Lui et l'autre, se prêtaient à un même jeu.
Captain Falcon avait peur de ce miroir. Il avait peur de voir son être se refléter, avec ses sentiments, ses manigances, son humanité, ses qualités. Et son pire cauchemar serait un jour d'y contempler sa masse de défauts.

Il ne put s'empêcher de vouloir chasser cette dernière pensée. Il s'obligea à balancer une réflexion agressive de sa part :

« Je n'ai pas besoin de ta présence à mes cotés, où que je sois. Surtout chaque fois que je prend mon café au coin, le sais tu.
-La présence de cette loterie d'en face dit tout le contraire. Plus, ajouta t il, ma surveillance est limitée: combler le gaspillage fait en longueur de journée en mon absence est davantage pénible sans bouger le doigt.
-En parlant de toi, tu ne penses pas qu'il y a du devoir qui t'appelle? Des tâches au moins... vitales? , posa l'autre non sans un air moqueur.
-Le programme d'aujourd'hui ne sera pas fructueux, affirma t il. Deuxièmement, cinq minutes de monologue creux de moins ne valent pas autant que l'impact boursier de tes décisions creuses à mon insu.
-Tu as actuellement une demi heure de retard, je te signale et non cinq minutes.
-Parce que trente minutes de parlotte dans le vide là-bas ne sont pas plus enrichissantes que cinq.
-Alors pourquoi Monsieur je-suis-trop-parfait-pour-ça ne rattrape pas le cours qu'il manque à sa façon?, lança le père sarcastique, Monsieur je-suis-trop intelligent doit bien en être capable, je pense. Ça m'étonne de toi de te voir préférer à ceci... t'extasier à boire ton thé là.
-Thé vert, rectifia t il sec terminant une gorgée de thé. Les hommes n'ont qu'une seule vie. Certains la gaspillent en rattrapant le temps perdu, vainement. »

Cette allusion poétique, il aurait pu l'approfondir encore, si son regard n'avait pas détourné son focus à travers la vitrine du bar. L'expression neutre, le jeune homme cessa son extase, abandonna sa tasse de thé, et se leva de sa chaise. Pas une moindre excuse, ou explication en échange. Il avait pris la sortie du café. Laissant à son père la charge de ses frais alimentaires dans l'addition. Il était parti ainsi, tel un vagabond étranger.
Une curiosité apparut en lui bien sûr. Ce dernier l'observa en douce derrière la vitre, terminant son « café »; Apparemment, il se dirigeait vers l'arrêt de bus à proximité. Il remarqua au passage la présence d'une jeune femme qui expliquait l'attitude d'Haïku . Captain Falcon eut un sourire amusé, le genre de sourire qu'esquissait un homme qui savait comment allait se dérouler la situation de A à Z.
La jeune femme était vêtue d'un uniforme blanc similaire à celui de son fils, d'un modèle efféminé cependant. Ce devait être une étudiante de son université. Sa particularité était ce qu'elle portait dans les mains, ce derrière quoi elle cachait son visage, sûrement à cause d'une gêne; quel joli bouquet touffu de roses que voilà. Le voyeur se dépêcha d'étouffer son rire nerveux de sa main, et se récita avec un malin plaisir la trame suivante, selon lui:

Une admiratrice quelconque avait enfin pris son courage à deux mains, saisi le moment propice, allait enfin pouvoir déclarer sa flamme. A l'homme qu'elle espionnait secrètement chaque journée, à qui elle avait succombé à petit feu. Quelle méthode devrait elle employer? Elle le ferait dans un contexte si classique que c'en était original, si féérique que c'en était incroyable. Elle lui offrirait des roses, et son cœur à la fois. Très piquante était l'idée, puisque c'était le partenaire masculin qui se coltinait d'ordinaire ce rôle. Elle entamerait un début et aboutirait à la fin, l'indéniable vérité en conclusion. Elle se mettrait nu comme un ver.
Tandis qu'il refuserait ce présent généreux sans faire de détour, en empruntant le raccourci du macho. La flèche qu'était inévitable vérité lui transpercerait le cœur, le réduirait en miettes de pain.
L'histoire avait une chance sur deux de faire une chute avec une bonne gifle sentimentale.

Tiens donc, la gifle était déjà partie? Que ce fut rapide. La trame réelle avait pris exactement les mêmes tournures sous ses yeux. L'amoureuse s'était enfuie en sanglots, l'homme convoité retournait au bar, la joue brûlante. Encore une fois, le schéma tragique s'était répété.
« Mieux vaut plus tôt que jamais » se serait il justifié, sur son comportement. Ce contretemps ne lui laissa indifférent, son expression neutre n'avait évoluée.

« Et un râteau de plus, chuchota Karls dès que son fils reprit sa place.
-Très perspicace, se contenta de dire le populaire, dégustant une énième gorgée d'amertume.
-Oh et toi, tu es trop brusque. Peu de femmes ne partent les mains propres, avec une franchise pareille. Tu devrais bien le savoir, fit il sarcastique. C'est à en jurer que tu...
-Si ta logique est toujours aussi reculée, il vaudrait mieux que je lui indique le bon chemin, stoppa t il. Vivre un conte de fée à l'eau de rose? Sans façon. Amour? Je n'en ai jamais demandé, n'en demande pas, n'en demanderait point.
-Arrête, je vais piquer une nouvelle crise de fou rire, enchaîna son père l'ironie peu sérieuse.
- Les hommes n'ont qu'une seule vie. Certains l'empoisonnent, se lançant à l'eau, corps et âme animés par cette passion mortelle qu'est l'amour. Non pas que je ne souhaite ni la mort, ni la souffrance mais que je refuse de finir métamorphosé.
-L'amour transforme l'homme et détruit son identité. »

La dernière réplique fichu un froid au criminel masqué. Quel arrière goût aussi amer que le thé vert, ressentit il.
Il fallait bifurquer le sujet.

« Demain à la matinée, je pourrai enfin récupérer la machine sous ma charge.
-Reformulation: Il me faudra rater les premières minutes de quatre heures dédiées à un paradoxe, énonça t il, après deux gloussements de saveur.
-Je ne t'oblige pas de me tenir compagnie.
-Toi, non. Ta nature négligée, et ton insouciance incorrigible, oui.
-Bon sang, déborda sa figure paternelle . Pourrais tu me dire en quel honneur je dois subir ces gamineries?
-Ta retraite toucherait mieux le fond que ça, sans cet honneur.
-Tu y songes un peu tard, dis moi.
-Consommation de ta part et excellente retraite font deux. Tant que tu ne seras pas dans la meilleure maison à l'avenir, tu serais bien capable de traîner dans mes pattes. Et tu aurais bien le culot de m'inculper la responsabilité de tes ô combien de dettes que tu aurais pu contracter jusqu'alors.
Hum, succomba t il à la dernière goutte de thé vert. C'est ma façon de garantir les choses. »


Fin de l'avant dernière partie.
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